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Lancement du vaccin injectable contre la poliomyélite à Safo

Lancement du vaccin injectable contre la poliomyélite ce jour à Safo, par le ministre de la santé et de l'hygiène publique Mme Marie Madeleine Togo.
C'est une population enthousiaste et consciente des enjeux de la vaccination en temps d'épidémie qui a reçu les autorités sanitaires.

Pour rappel sur le Vaccin Antipoliomyélitique Injectable (VPI), en mai 2012 l’Assemblée Mondiale de la Santé a déclaré que l’achèvement de l’éradication de la poliomyélite était une urgence programmatique pour la santé publique mondiale, et en 2013, elle a adopté un nouveau Plan stratégique pour l’éradication de la poliomyélite et fixé la phase finale en 2018. Dans le cadre de ce plan, qui vise à libérer durablement le monde de la poliomyélite, le Vaccin Antipoliomyélitique Oral (VPO) devra à terme, être abandonné partout dans le monde, afin d’être remplacé par le VPI.
 
A la différence du vaccin Antipoliomyélitique Oral (VPO), le vaccin antipoliomyélitique injectable (VPI), à virus inactivé, a été développé en 1952 par l'équipe de Jonas Salk et officiellement annoncé le 12 avril 1955. Il a été élaboré à partir de poliovirus cultivés sur lignée cellulaire simienne, puis inactivés chimiquement par le formaldéhyde. Il confère une immunité protectrice chez 90 % des sujets après deux injections et chez plus de 99 % des sujets après trois injections. Trivalent, il protège contre les trois souches de poliovirus (PV1, PV2 et PV3). Il peut être administré dès l'âge de six semaines.
 
 

RAPPORT DE LA GESTION DE LA MÉNIGINTE DU 24 MARS 2016

A ce jour nous avons enregistré des cas présumé dans les régions de Kayes, Koulikoro et Sikasso, quant aux autres régions aucun cas a été enregistré.
Un seul cas de décès a été enregistrement dans la région de Sikasso , district sanitaire de Sélingué.
Sur les cas présumés des prélèvement LCR ont été effectué et envoyé à l’INRSP.
Télécharger le rapport du jour pour plus de détails

Visite de l’Abattoir frigorifique de Bamako (AFB)

 

le mardi 22 mars 2016 Dr Marie Madeleine TOGO (Ministre de la Santé et de l’Hygiène publique) a effectuée une visite à l'Abatoire frigorifique de Bamako (AFB) accompagné du Dr Nango DEMBELE (Ministre de l’Elevage et de la Pêche) pour s’enquérir des conditions de travail et d’hygiène de l’AFB.

Cérémonie de distinction de chercheurs maliens (18 mars 2016).

Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a célébré le mérite en distinguant des sommités de la recherche en santé notamment le Dr Diakaridia Koné (directeur du Programme national de lutte contre le paludisme - PNLP), et le Pr Samba Sow (directeur du Centre national de lutte conte la maladie - CNAM), ainsi que leurs équipes.
ils ont ainsi reçu des mains du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Togo Marie–Madeleine Togo, des distinctions pour leur courage et le travail bien fait dans le domaine de la recherche. La cérémonie de remise des distinctions s’est déroulée dans les locaux du département en présence de collègues et parents des lauréats le vendredi 18 mars 2016.
Le Programme national de lutte contre le paludisme et le Centre national de lutte conte la maladie sont deux programmes importants dans le domaine de la santé publique. En matière de lutte contre le paludisme, le PNLP a enregistré de nombreux résultats probants. Selon l’enquête démographique et de santé au Mali réalisée en 2012-2013, 84,4% des ménages disposent d’au moins une moustiquaire imprégnée d’insecticide à longue durée d’action (MILD), 69% des enfants de moins de 5 ans et 75% des femmes enceintes dorment sous MILD.
Le programme a mené des campagnes de chimio-prévention du paludisme saisonnier chez les enfants de 3 à 59 mois avec une couverture de plus de 90%. Selon son directeur, le programme a conduit des études sur la qualité de la prise en charge des cas de paludisme dans les formations sanitaires, les obstacles à l’utilisation de la SP en traitement préventif intermittent, la résistance des vecteurs aux insecticides, l’évaluation de l’impact des interventions de lutte contre le paludisme, l’enquête sur les indicateurs du paludisme, l’enquête par grappe à indicateurs multiples, etc.
Ces réalisations, dira-t-il, ont fortement contribué à la réduction du taux de mortalité infanto-juvénile de près de 50% entre 2006 et 2012. Elles ont été récompensées par des prix au premier rang desquels le prix décerné au président de la République pour la meilleure progression en matière de contrôle du paludisme entre 2011 et 2015 à la conférence des chefs d’État et gouvernement le 29 janvier dernier à Addis Abeba et le prix de reconnaissance pour la meilleure réalisation des campagnes de couvertures universelles en MILD entre 2011 et 2015 le 2 février dernier à Genève.
Le CNAM a participé, juste après sa création, à un programme de recherche piloté par l’OMS, le programme des technologies appropriées pour la santé (une structure américaine) et Serum Institute of India pour développer un vaccin accessible et adapté à une utilisation contre la méningite A en Afrique sub-saharienne. MenAfriVac, le nom du vaccin, a eu un impact immédiat et spectaculaire pour briser le cycle des épidémies de méningite A. Le vaccin a été fabriqué par un institut en Inde où la première phase a été faite. Sept pays ont été choisis dont le nôtre. « Et parmi ces pays, le nôtre a pris la tête, car il a enregistré plus de participants, plus d’études et les résultats sont de meilleure qualité », a témoigné le professeur Samba Sow

FELICITATIONS AUX LAUREATS

 

 

 

RAPPORT DE LA GESTION DE LA MÉNIGINTE DU 23 MARS 2016

A ce jour seul la région de Sikasso a enregistrée un (1) cas présumé dans le district de Niena, village de Warana. le prélèvement LCR a été effectué et envoyé à l'INRSP de Bamako. Aucun cas de décès est enregistré.

Télécharger le rapport complet ci-dessous

Réunion d’information sur la menace d’épidémie de MVE

C'était le 21 mars 2016, s’est tenue dans la salle de conférence du Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, la réunion d’information sur la situation épidémiologique de la maladie à virus Ebola au Mali.

Présidée par le Secrétaire Général du Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique,

Deux  points étaient inscrits à l’ordre du jour à savoir :

  1. la situation épidémiologique de la maladie à virus Ebola dans la sous- région et actions entreprises ;
  2. Divers.

Pour en savoir plus télécharger le compte rendu ci-dessous

 

Confirmation de nouveaux cas d’Ebola en Guinée

  • Publié dans EBOLA

Conakry — L’OMS a envoyé une équipe de spécialistes dans la préfecture de Nzérékoré, au sud du pays, après que 2 nouveaux cas d’Ebola ont été détectés et confirmés dans un village rural.

Les responsables guinéens de la santé dans la région ont alerté l’OMS et les partenaires le 16 mars concernant la survenue de trois décès inexpliqués ces dernières semaines dans le village de Koropara et ont ajouté que d’autres membres de la même famille présentaient actuellement des symptômes caractéristiques d’Ebola.

Le ministère de la Santé guinéen, l’OMS, les Centers for Disease Control des États-Unis d’Amérique et l’UNICEF ont envoyé des enquêteurs le 17 mars. Des échantillons ont été prélevés chez 4 personnes. La maladie à virus Ebola a été confirmée par des tests de laboratoire pour une mère et son fils de 5 ans, parents des défunts. Ces 2 personnes ont été amenées dans une structure de traitement.

En coordination avec le ministère de la santé guinéen et pour appuyer une action interinstitutionnelle, l’OMS a déployé aujourd’hui une équipe initiale d’épidémiologistes, d’experts de la surveillance, de vaccinateurs, d’agents de mobilisation sociale, de personnes chargées de chercher les contacts et d’un anthropologue.

De nouveaux spécialistes sont attendus dans les jours prochains. Les équipes d’intervention travailleront pour déterminer l’origine de ces nouvelles infections et pour identifier, isoler, vacciner et suivre tous les contacts des nouveaux cas et des défunts.

Le centre national des opérations d’urgence en Guinée a convoqué une réunion le 18 mars pour coordonner davantage une intervention rapide afin d’endiguer la première résurgence d’Ebola dans ce pays depuis que la flambée initiale a été déclarée comme étant terminée le 29 décembre 2015.

Les nouvelles infections en Guinée ont été confirmées le jour même où l’OMS déclarait la fin de la dernière résurgence d’Ebola dans la Sierra Leone voisine. L’OMS a dit qu’il fallait s’attendre à des résurgences de la maladie et que les trois pays affectés par Ebola doivent maintenir de puissants moyens pour prévenir, détecter et combattre les flambées.

«L’OMS continue de souligner que la Sierra Leone, comme le Libéria et la Guinée, sont encore exposés à un risque de résurgence de la maladie à virus Ebola, en raison, pour une grande part, de la persistance du virus chez certains survivants, et doivent donc restés à un stade avancé d’alerte et prêts à la riposte», a indiqué l’Organisation dans une déclaration.

La pire flambée d’Ebola de l’histoire a commencé en Guinée en décembre 2013 et a fait depuis lors plus de 11 300 morts, principalement en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone.

Source: OMS