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Le Ministre de la Santé et du Développement Social à tous les Chefs de service du Ministère de la Santé et du Développement Social et des Établissements de santé du secteur privé

L'inscription régulière au tableau de l'Ordre des médecins du Mali est une obligation déontologique. Conformément aux dispositions de l'article 10 de la Loi N° 2017-030 du 14 juillet 28:7 portant création de l'Ordre des médecins du Mali, aucun médecin ne peut exercer son art sur le territoire national s'il n'est régulièrement inscrit au tableau de l'Ordre des médecins du Mali. Selon les textes, le délai règlementaire pour se mettre à jour est le 31 mars 2022 et la date de publication du tableau est prévue pour le 30 avril 2022. Pour en savoir plus, cliquer ici.

 

L’atelier de remplissage de l’outil de collecte des données de l’auto-évaluation du RSI (2005) et de l’outil SPAR (outil d’évaluation annuelle du RSI)

L’an deux mil vingt-deux, du vingt-huit Février au quatre Mars, s’est tenu l’atelier deremplissage de l’outil de collecte des données de l’auto-évaluation du RSI (2005) et de l’outil SPAR (outil d’évaluation annuelle du RSI) dans la salle de conférence de l’Hôtel club de Sélingué.

Cet atelier a été organisé dans le cadre du processus d’évaluation interne du RSI (2005) par le Ministère de la Santé et du Développement Social à travers le point focal RSI avec l’appui financier de la Banque Mondiale à travers le projet REDISSE III.r

La cérémonie d’ouverture a été marquée par deux interventions dont :

Celle du spécialiste en suivi-évaluation et Coordinateur par Intérim de REDISSE III, celui-ci a remercié les participants d’avoir répondu à l’appel. Il a rappelé les objectifs de l’atelier et l’importance du travail qui sera fait pour répondre à une exigence du RSI.

Celle de la Conseillère Technique Juridique du Ministère de la Santé et du Développement Social (MSDS), représentantle Secrétariat Permanent de la Plateforme Nationale « Une Seule Santé » au Mali.i

Les objectifs de cet atelier étaient:

 

·         la présentation des résultats de l’évaluation interne des capacités de mise en œuvre du RSI (2005) au Mali ;

 

·         la validation des données collectées ;

 

·         le remplissage de l’outil SPAR.

 

Pour plus d’informations, télécharger le rapport de synthèse de l’atelier.

 

16ème session ordinaire du Conseil d'Administration de l'Agence Nationale de Télésanté et d'Informatique Médicale (ANTIM)

L’Agence Nationale de Télésanté et d’Informatique Médicale (ANTIM) a tenu ce mardi 22 février  2022, la 16ème session ordinaire du conseil d’administration par vidéoconférence sous la présidence du Ministre de la Santé et du Développement Social,  Madame Diéminatou SANGARE.

Au menu des travaux de cette session, il s’agissait de l’examen, l’amendement et l’adoption des documents ci-dessous soumis à leur approbation notamment :
•    Le procès-verbal de la 15ème session ordinaire du conseil d’administration ;
•    Le point d’exécution des recommandations de la 15ème session du conseil d’administration ;
•    Les rapports d’activités et financier 2021 ;
•    Le programme d’activités et le projet de budget 2022 ;
•    Le contrat annuel de performance 2021;
•    Le rapport annuel de performance 2021 et le projet annuel de performance 2022.

Dans le cadre de l’atteinte des objectifs  du Programme 2 : 057 du  Département de la santé, l’ANTIM a réalisé les activités en lien avec les objectifs stratégiques 6, 8, 10 et 11du PRODESS IV.
Au 31 décembre 2021, sur un budget d’État prévisionnel de  1 211 427 000 FCFA, il a été notifié   446 290 846FCFA soit 36,84 % (moins de la moitié du budget prévisionnel), pour un taux d’exécution de 99, 59% soit 444 463 146 FCFA. En outre,   la mobilisation de 58% des ressources propres et de 40,71% des ressources des partenaires a permis à l’Agence de réalisé 75% des activités soit 27 sur 36 prévues malgré la situation de la pandémie à COVID-19 et le contexte socio-économique du pays.
Selon les administrateurs, l’ANTIM a répondu aux attentes en termes de réalisation des objectifs qui lui sont assignés. C’est pour cette raison que les différents documents soumis à leur appréciation ont été validé.  A cette occasion, le Président (PCA) et les administrateurs ont  félicité le Directeur et l’ensemble du personnel de l’ANTIM pour l’atteinte de ses résultats. Cependant, ces efforts doivent être poursuivis pour le maintien du cap en vue d’améliorer les performances pour l’année 2022.

Outils d’entretien avec les bénéficiaires de la formation

Cet outil  est destiné à la collecte des données auprès des collègues de travail et s’inscrit dans le cadre de l’analyse du contexte de travail en vue de comprendre  l’environnement dans lequel les agents.es formés.es participent à la réalisation des objectifs de leur structure. Il s’agit aussi d’identifier les forces, les points de faiblesse et de procéder aux améliorations nécessaires afin d’optimiser l’utilisation des compétences acquises pour le développement  de la structure.

 

 

Aspect opérationnels du suivi post formation

Les compétences sont indispensables à l’accomplissement de la mission dévolue à toute structure ou organisation publique ou privée, à vocation lucrative ou sociale. L’analyse de l’adéquation entre le besoin de développement et les capacités disponibles est aussi nécessaire. En matière de création et de conservation des compétences en matière de développement des compétences, les structures du secteur santé, développement social et promotion de la famille utilisent le plus souvent la formation et la supervision. La stratégie de suivi post formation est une approche qui assure la continuité de la formation et contribue à son efficacité.   Pour plus d’informations télécharger le document.

 

Atelier de formation des points focaux sur les concepts liés aux Violences Basées sur le Genre (VBG) et les pratiques néfastes

 

L’an deux mille vingt-deux et du 03 au 07 janvier s’est déroulé au Centre de Formation des Collectivités Territoriales (CFCT) de Koulikoro, l’atelier de formation des points focaux sur les concepts liés aux Violences Basées sur le Genre (VBG) et les pratiques néfastes. Il est organisé par la Cellule de Planification et de Statistique Secteur Santé, Développement Social et Promotion de la Femme sur financement ABS SSR/CANADA. La facilitation a été assurée par le Programme National pour l’abandon des Violences Basées sur le Genre (PNVBG).

 

L’Objectif général de l’atelier était d’outiller les points focaux Genre (f/h) en matière de Violences Basées sur le Genre (VBG) et des pratiques néfastes à la santé de la femme et de la fille. De façon  spécifique, il s’agit de 

 

-          comprendre les concepts liés aux VBG et les pratiques néfastes à la santé de la femme et de la fille ;

 

-          s’approprier du mécanisme et de la problématique de lutte contre les VBG et des pratiques néfastes à la santé de la femme et de la fille ;

 

-          décrire les mesures de lutte contre les VBG et les pratiques néfastes à la santé de la femme et de la fille.

 

 

La cérémonie d’ouverture a été marquée par l’allocution du Point Focal du Comité Sectoriel d’Institutionnalisation de la Politique Nationale Genre du SS- DS-PF qui a placé l’atelier dans son contexte et a fait un rappel sur les attentes de l’atelier et les objectifs des termes de références. Il a exhorté les participants à plus d’assiduité pour l’atteinte des objectifs et a adressé ses mots de remerciement aux partenaires techniques et financiers particulièrement le partenaire ABS SSR/CANADA pour son appui financier pour la tenue de ce présent atelier.

 

Les présentations ont porté entre autres sur :

 

-          la présentation du Programme National sur les Violences Basées sur le Genre (PNVBG) qui s’articule autour des points suivants :

 

o   le contexte de création du PNVBG ;

 

o   les missions du PNVBG ; 

 

o   les actes posés par le PNVBG depuis sa création

 

-          les Pratiques Traditionnelles Néfastes (PTN) qui ont porté sur l’excision, origine, types et ampleur, les raisons de la pratique et les conséquences.

 

-          les raisons populaires justifiant la pratique de l’excision au Mali ;

 

-          les traités et conventions signés ratifiés par l’Etat du Mali mais aussi sur le cadre légal national ;

 

-          les formes de violence ;

 

-          les typologies des VBG

 

-          les Mutilations Génitales Féminines ;

 

-          l’ampleur des VBG ;

 

-          les principales causes à la base des VBG ;

 

-          les conséquences des VBG ;

 

-          les facteurs favorisants la résilience ;

 

-          les principes directeurs des VBG ;

 

-          les notions de communication (ce qu’il faut éviter en communication)

 

-          le rôle des acteurs.

 

 

 

Par ailleurs, les raisons populaires justifiant la pratique de l’excision au Mali ont été évoquées telles que les mythes, l’hygiène et l’esthétique, le contrôle de la sexualité, l’effet maléfique du clitoris, la religion… A toutes ces présentations plusieurs questions de compréhensions et de commentaires ont étés évoquées par les participants et des réponses satisfaisantes ont étés données par le facilitateur.

 

 

 

Recommandations formulées sont les suivantes:

 

-          mettre en place un cadre législatif règlementaire des VBG au Mali ;

 

-          assurer le respect des dispositions de la loi N°2015-052 du 18 décembre 2015 instituant des mesures pour promouvoir le genre dans l’accès aux fonctions nominatives et électives ;

 

-          revoir les stratégies de communication pour l’abandon des VBG ;

 

-          étendre la formation au niveau des services déconcentrés ;

 

-          promouvoir des activités de réinsertion sociale des survivantes ;

 

-          prévoir un atelier de renforcement de capacités des points focaux sur l’importance de la base de données sur les VBG ;

 

-          respecter l’assentiment et le consentement dans la gestion de VBG.

 

Atelier de formation des points focaux une santé et des professionnels des Médias des Régions Tombouctou, Gao, Kidal, Ménaka et Taoudéni sur la communication des risques(CR) dans le cadre de l’approche une seule Santé

Du 03 au 05 décembre 2021 s’est  tenu dans la salle de réunion de l’hôtel Fanta N’DONGO de Ségou l’atelier de formation des points focaux une santé et des professionnels des Médias de Tombouctou, Gao, Kidal, Ménaka et Taoudéni sur la communication des risques(CR) dans le cadre de l’approche une seule Santé.
L’atelier a été organisé par Breakthrough ACTION (BA)/USAID.
la Cérémonie d'ouverture a été marquée par quatre interventions. Il s’agit de :
- Celle de la directrice de BA qui après avoir rappelé les objectifs de la formation a remercié les facilitateurs nationaux pour leur disponibilité. et elle a réitéré l’engagement de sa structure  à accompagner le  gouvernement dans sa lutte contre les maladies à potentiel épidémiques et zoonotiques ;
- Celle du Charge de communication de l’OMS  qui au nom des partenaires des partenaires techniques et financiers a remercié le projet BA/USAID et renouvelé l’accompagnement de tous les partenaires ;
- Le  Secrétaire Permanent de la plateforme Une Seule Santé du Ministère de l’Agriculture a mis l’accent sur le rôle du secrétariat permanent et la mise en place de la plateforme dans les régions de Gao, Kidal, Taoudénit et Ménaka ;
- Celle du Conseiller à la Sécurité du Gouverneur de la Région de Ségou qui après avoir souhaité la bienvenue aux participants dans la cité légendaire des balanzans, a placé l’atelier dans son contexte. il a invité les participants a plus d’assiduité dans le travail afin d’atteindre les objectifs assignés à la formation. Tout en souhaitant plein succès aux travaux, il a déclaré l’atelier ouvert.   
Les travaux ont porté essentiellement sur:
- Règlement Sanitaire International, Programme Mondial de la Sécurité Sanitaire, Sécurité sanitaire des aliments, Résistance aux antimicrobiens, Urgence de Santé Publique de Portée Internationale, Sécurité biologique, Sûreté biologique, Approche multisectorielle, Approche multidisciplinaire, l’Infodemie, Risques et Danger, journalistes/acteurs de média, porte-parole du gouvernement ;
- L’aperçu général sur l’approche Une seule Santé ;
- La description de la plateforme Nationale Une seule Santé et ses organes ;
- La définition et la description des maladies zoonotiques prioritaires et principaux Evènements de Santé Publiques Majeurs (ESPM) ;
- La Sécurité Sanitaire des aliments (SSA) ;
- La Résistance aux Antimicrobiens (RAM);
- La survenu d’un ESPM ;
- La gestion des rumeurs : cas de Virus Ebola au niveau d’un point d’entrée ;
- Les outils d’évaluation ;
- Les documents de références.



 

Lancement officiel de la journée mondiale du lavage des mains au savon, édition de 2021

Au Mali, le village de Sala dans la commune de N’Gabacoro droit, région de Koulikoro a abrité ce matin le lancement des activités de la 14ème  édition de la Journée mondiale du Lavage des mains au savon sous la présidence du ministre de la Santé et du Développement Social. Le thème de cette Journée est « Notre avenir est à portée de main-Allons de l’avant ensemble »
Selon la ministre de la Santé et du Développement Social, Mme Diéminatou SANGARÉ, le lavage des mains au savon est un simple geste qui peut sauver des vies. Un comportement qui doit être encouragé car le lavage des mains avec du savon doit être ancrer dans nos habitudes, devenir systématique, à la maison, à l’école, dans les lieux de restauration, partout et surtout aux moments critiques que sont :
•    Avant de préparer les repas ;
•    Avant de manger ou de donner à manger à quelqu’un ;
•    Au sortir des toilettes ;
•    Après s’être mouché ;
•    Après le nettoyage anal des enfants ;
•    Après avoir touché des surfaces ou des objets souillés.

Rappelons qu’en se lavant les mains au savon, on réduit la charge microbienne de plus de 90% d’où toute son importance dans la prévention des maladies infectieuses telles que les infections de la peau, la maladie à coronavirus (COVID-19),   les infections respiratoires aigües, les fièvres hémorragiques comme la maladie à virus Ebola, le trachome, les infections de la peau et bien d’autres maladies.
Une démonstration  de la technique du lavage des mains par Mme la ministre a eu lieu au cours de la cérémonie. Cette étape est suivie par la distribution de dispositifs des mains aux enfants. Dans son intervention, la ministre de la santé a remercié l’UNICEF et l’OMS, tous les partenaires qui n’ont  ménagé aucun effort pour le bien-être de la population malienne.  La représentante de l’UNICEF à son tour a réitéré leur engagement à capitaliser les expertises et optimiser les ressources pour la santé des enfants et de l’ensemble de la communauté.
Le Gouvernement du Mali invite la population malienne, à faire de ce geste simple et efficace, une pratique courante pour la préservation de notre santé et de celle de nos familles.